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Faites la paix avec le "terrible two" :

accompagner le tout-petit 18-36 mois dans la parentalité sécurisante 

Si je vous proposais de cesser de voir cette phase de développement comme un "terrible two" ? Si je vous disais que cette tranche d'âge peut être une merveilleuse période de découvertes, d'apprentissages et de gratification comme parent ? Avez-vous le goût d'embarquer avec moi ?

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Bonjour! Je suis Mélanie Bilodeau, psychoéducatrice 

Si vous êtes ici, c’est que vous cherchez une solution pour comprendre et mieux accompagner votre tout-petit de 18 à 36 mois durant cette phase de la petite enfance qui nous donne souvent du fil à retorde. 

Le "terrible two" n'existe pas en soi. Pour tout vous dire, c'est une expression que je déteste. Si on qualifiait cette période d'affirmation, de différenciation et de découverte de l'autonomie comme étant plutôt le "wonderful two" ?

Comment vivez-vous cette nouvelle phase que certains qualifient de "terrible two" ...

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Coco commence à protester et à dire non pour tout et vous vous demandez où est passé votre bébé sourire ?

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Vous êtes épuisés de subir des crises de 30 minutes parce que vous lui avez coupé son sandwich en carrés plutôt qu’en triangles ?

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Vous appréhendez d’aller à l’épicerie avec votre tout-petit, car vous craignez la « crise de bacon » devant tout le monde pour la boite à biscuits que vous allez lui refuser d’acheter ?

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Vous sentez que le plaisir d’être avec votre enfant s’estompe peu à peu et fait place à une impatience grandissante ?

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Vous désirez apprendre pour mieux comprendre et intervenir efficacement avec votre enfant en plein développement ?

Je tiens d’abord à vous dire que tout cela est normal. Vous n’êtes pas seul.e à vivre ces sentiments. 

 

Je vous promets qu’il est possible de faire la paix avec le « terrible two » et retrouver l’harmonie au sein de votre famille en ayant une meilleure compréhension de votre tout-petit et des stratégies adaptées à son âge ET à l'immaturité de son cerveau.

Me sentir impuissante comme parent devant les crises de colère et la phase du "non", je sais ce que c'est moi aussi. Me donnez-vous

1 minute pour que je vous raconte une tranche

de vie ?

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Ma première expérience avec le "terrible 2":

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2004, c'est l’année où je suis devenue mère pour la première fois, quelques années avant de devenir psychoéducatrice.

 

C’est alors que le plus grand défi de ma vie a commencé : éduquer mon enfant.

Au début, il y avait les pleurs, le manque de sommeil, les inquiétudes normales et tous les questionnements liés à l’adaptation d’un bébé dans le quotidien d’une nouvelle famille. Mais somme toute, mon conjoint et moi on se trouvait bons comme parents. Honnêtement, on trouvait qu'on l'avait l'affaire ...

 

jusqu’à ce que notre fille atteigne l’âge fatidique de 18 mois.

Des crises de « bacon » aux morsures, en passant par les cris et les pleurs TOUS-LES-JOURS, plus rien n’allait !

Notre petite ricaneuse avec qui nous avions tant de plaisir avait… disparu !

En plus de la gestion des crises de colère de notre enfant, de ses refus à TOUTES nos demandes, nous faisions face, mon conjoint et moi, aux « merveilleux » conseils de la famille et de Matante Monique. Pas que nous n'étions pas ouverts à entendre l'expérience des autres, mais tout semblait se contredire. 

C'est quoi le 
«terrible two» ?

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Tiré de l'anglais, c'est ainsi qu'on qualifie souvent la «crise des deux ans». C'est une période normale entre 18 et 36 mois où l'enfant s'oppose souvent, répond souvent par "non", résiste à certaines situations du quotidien, vit des crises de colère, et manifeste des comportements qui dérangent l'adulte : hurler, se rouler par terre en public, lancer des objets, taper, mordre, etc. 

On aimait bien nous rappeler que NOUS étions « l’autorité » et que nous devions vite « casser » le comportement de notre fille. 

«Elle vous manipule !»
«Elle fait des caprices !»
«Quelle drama-queen !»
«Vous l'avez trop gâtée !»
«Je vous l'avais dit d'arrêter ça le cododo !»

Merci Monique pour tes belles hypothèses. À part se sentir jugés et foutrement incompétents comme parents, on n'a pas l'impression de savoir comme agir adéquatement. 

 
Le sentiment d’incompétence parentale était de plus en plus présent chaque jour.

Tout ce qu'on souhaitait, c'était de donner le meilleur de nous-mêmes à notre enfant et surtout, de construire une relation positive et de confiance avec elle.

Venant de deux milieux familiaux bien différents avec des valeurs et des pratiques parentales tout aussi différentes, la cohésion entre mon conjoint et moi n’était pas toujours facile. On s'entendait toutefois sur une chose: nous voulions être sécurisants et bienveillants dans l’éducation de nos enfants tout en nous faisant respecter en tant que parents.

Nous voulions transmettre à nos enfants un modèle de parents affectueux, aimants et à l’écoute de leurs besoins et de leurs émotions, tout en leurs permettant de grandir avec un encadrement et les limites claires, dans le respect de l'environnement et des autres.  

Lire la suite de l'histoire...

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    On a lu des livres, beaucoup de livres sur l'éducation ... dont je reconnais aujourd'hui que le contenu encourageait des pratiques parentales beaucoup plus coercitives que sécurisantes. On a écouté des conseils des éducatrices de la garderie, de la pédiatre, des autres parents de notre entourage. On a essayé chaque jour d’appliquer ces conseils du mieux qu'on pouvait : le retrait, la laisser faire sa crise dans sa chambre, être plus autoritaire, donner des conséquences, acheter la paix, resserrer le cadre ... Bref, rien ne semblait fonctionner et on manquait drôlement de constance comme parents. Mea culpa ! C’est lorsque mon conjoint m’a admis ne plus avoir envie de rentrer du travail, appréhendant le climat négatif de la maison, que nous avons compris que nous étions dans une impasse. Dans notre recherche d’aide auprès de professionnels, on nous a reflété que nous manquions d’autorité ; qu’il fallait « serrer la vis ». Mais ce qu'on nous les proposait comme interventions ne nous convenaient pas. Laisser crier notre fille dans sa chambre ou la priver de moments de qualité avec nous ne faisait tout simplement aucun sens à nos yeux. J’ai donc tenté de voir la situation différemment, de porter un autre regard sur ma fille. Au lieu de tout faire pour essayer de lui faire comprendre que ses comportements étaient inacceptables, j’ai plutôt essayé de la comprendre ELLE, de voir ses besoins derrière ses comportements. J’ai tenté de me mettre à la place de ma fille. Que pouvait-elle se dire dans sa mignonne petite tête d’enfant de 2 ans ? C'était évident qu'elle ne faisait pas exprès de faire autant de crises ... Les reproches ont alors tranquillement fait place et à l’empathie. Il y avait moins de frustrations de part et d’autre au quotidien et les crises de colère de notre fille avaient diminuées. Durant cette période, je poursuivais aussi des études en psychoéducation. Mes nouvelles connaissances sur le développement de l’enfant m’ont fait comprendre que les comportements de ma fille étaient non seulement normaux, mais aussi nécessaires à son développement. Toute cette intensité n’était donc pas causée par MA faute. Quel soulagement ce fut qu’on me confirme que mon enfant était « normale ». Je me sentais, enfin, moins coupable. Et voilà que de nouvelles données probantes quant au développement de l’enfant ont eu l’effet d’une révélation dans ma vie de mère, mais aussi de professionnelle en petite enfance. J’ai découvert toute l’importance des neurosciences affectives et sociales, des instincts primitifs que portent nos tout-petits, des comportements liés à l’immaturité de leur cerveau. À ce moment, aucun professionnel n’avait encore abordé la petite enfance sous cet angle avec moi. C’était une découverte qui allait certainement changer toute ma façon d’intervenir avec mes enfants et ceux que je rencontrais dans mon bureau. Par la suite, mes deux garçons sont arrivés dans ma vie. Le « terrible two » s’est encore une fois pointé le bout du nez, mais cette fois, mon conjoint et moi comprenions les réactions de nos tout-petits. Nos façons d’intervenir avec eux favorisaient davantage leur collaboration. Nos interventions étant adaptées à leur âge et leur immaturité, nous parvenions à éviter de créer inutilement des réactions négatives et diminuions ainsi la frustration vécue quotidiennement. On partageait alors le sentiment de former une réelle équipe comme parents. L’ambiance à la maison était beaucoup plus positive : moins de conflits, moins de confrontations, des crises moins longues. On avait moins tendance à lever le ton pour intervenir et on ne s’empêchait plus de sortir avec les enfants par peur du jugement. Le plus beau dans tout ça, c'est de reconnaitre qu'on avait bien plus de plaisir en famille et une relation parents-enfants plus agréable et positive. Depuis 2007, j'ai rencontré chaque semaine des familles et des professionnels en petite enfance et c’est avec beaucoup de plaisir que je partage avec eux mon coffre à outils qui est aussi efficace pour améliorer la relation parents-enfant que bénéfique pour le développement de sa personnalité. Depuis 2007, j'ai suivi d'innombrables formations continues sur la petite enfance et je me tiens au fait des dernières études scientifiques sur le sujet. Pendant une quinzaine d'années, j'ai rencontré chaque semaine des familles et des professionnels en petite enfance en pratique privée, exclusivement en périnatalité et petite enfance. Les crises, l'opposition et les comportements de la petite enfance sont toujours demeurés des motifs de consultation de premier ordre. C’est toujours avec beaucoup de plaisir que je partage mes connaissances sur le sujet pour : accompagner le tout-petit vers le développement de sa sécurité affective accueillir et accompagner les grandes tempêtes d'émotions avec empathie favoriser la confiance parentale mettre en place un encadrement parental efficace, constant, cohésif et sécurisant consolider des stratégies afin que l’accompagnement du tout-petit au quotidien soit perçu comme positif, agréable et constructif. Afin de guider les familles vers la parentalité sécurisante nous essayons, ensemble, de comprendre et de décoder notamment les besoins et les émotions exprimés par l’enfant derrière les défis vécus dans toutes les situations du quotidien. J’ai créé ce coffre à outils en me basant sur les dernières études scientifiques, sur des données probantes, sur mes observations professionnelles auprès de centaines de familles, ainsi que sur le résultat à court, moyen et long terme de l’application de ces stratégies. Clairement, cela donne des résultats plus qu’appréciés et très positifs. Chaque semaine, je reçois des dizaines de commentaires du type : « Mélanie, si j’avais reçu tous ces outils avant, notre vie familiale aurait été si différente », « J’ai appliqué tes conseils et cela a changé notre vie ! » Je vous propose aujourd’hui de mettre en place dans votre vie des stratégies d’accompagnement adaptées à l’âge et aux besoins de votre enfant, mais surtout, qui fonctionnent pour vrai ! Mon agenda étant bien chargé, je ne peux évidemment pas tous vous rencontrer en consultation. C’est pourquoi j’ai développé cette formation en ligne pour faire profiter le plus grand nombre de toutes ces connaissances qui peuvent réellement changer positivement votre relation avec votre enfant (et ceux à venir) tout en misant sur la construction de sa sécurité affective.
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    En 2011, j’ai cofondé le tout premier centre de services périnatals privé en Mauricie et Centre-du-Québec, Cigogne et baluchon, lequel poursuit encore sa mission aujourd'hui, avec d'autres femmes toutes aussi passionnées que moi à l'époque. De 2011 à 2017, j'y ai formé une équipe d’accompagnantes à la naissance, développé un cursus de cours prénataux misant sur l'humanisation de la naissance et animé divers ateliers en périnatalité. Saviez-vous d'ailleurs que je suis instructrice certifiée en massage pour bébé ? Avec les années, ce sont des milliers de couples qui ont bénéficié de ma préparation à la naissance. J’ai eu l’immense bonheur d’accompagner quelques centaines de parents parmi eux lors de leur accouchement et ainsi voir un nombre incalculable de bébés pousser leur premier cri. Encore à ce jour, je reçois chaque semaine des témoignages remplis de gratitude de parents plus que reconnaissants de leur expérience unique d’accouchement. Je ne peux m’empêcher toutefois de leur refléter que c’est MOI qui suis privilégiée de faire partie de leur histoire de naissance. Et aujourd’hui, grâce aux possibilités infinies du web, je peux maintenant vous offrir cette préparation, où que vous soyez, partout au Québec et en Europe, d'un océan à l'autre ! Si je peux m’adresser à vous, conjoint.e, partenaire, accompagnateur.trice, je souhaite insister sur l’importance de votre implication dans la préparation à la naissance et lors de l’accouchement. Vous avez un rôle de premier plan à jouer et votre présence, votre soutien demeure d’une importance capitale. N’ayez crainte d’être seulement témoin ou acteur secondaire ! En intégrant et en appliquant tous les outils que je vais vous enseigner dans cette série de formations, vous serez un réel pilier dans cette expérience de couple, un roc sur lequel la femme en travail pourra s’appuyer et se reposer, de la première contraction à la naissance de votre bébé. ​ Et à vous, femme forte et puissante qui allez donner naissance, sachez que cet accouchement vous appartient, à vous seule, et que vous détenez toutes les ressources à l’intérieur de vous pour donner naissance. Soyez confiante en votre force, votre puissance et vos capacités. Vous êtes plus forte que vous pouvez le croire ! Je vous assure : accoucher, c’est beau !
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    Hormis ces conseils, le jugement de certaines "Monique" faisait aussi malheureusement partie du lot, en plus de leurs commentaires nous reflétant notre incompétence parentale à chaque fois. Il fallait « qu’elle apprenne à faire ses nuits par elle-même au plus vite », nous répétait-on. Au fil des semaines, il y avait de plus en plus de frictions à l’intérieur même de notre couple. La patience et la compréhension s’effritaient entre nous et nous avions du mal à nous entendre sur la « meilleure » façon de faire. Nous étions de plus en plus submergés par le sentiment d’incompétence parentale … Même si nous n’avions pas toujours la même vision de la situation, mon conjoint et moi avions cependant le même désir profond : nous voulions être bienveillants et sécurisants dans l’accompagnement de nos enfants, de jour comme de nuit. À la recherche de solutions, nous nous sommes ouverts aux conseils des autres (grands-parents, amis, pédiatre, infirmière au vaccin, etc), lu tous les livres sur le sujet disponibles à l’époque (alors qu'il n'y en avait aucun qui misait sur la sécurité affective, c'est pourquoi j'ai d'ailleurs publié Soyez l'expert de votre bébé en 2019), en essayant d’appliquer les "conseils" du mieux qu'on pouvait. Mais honnêtement, rien de tout ça ne nous convenait. Laisser pleurer notre fille de quelques mois, seule dans sa chambre, sans répondre à ses besoins et ses pleurs ne faisait tout simplement aucun sens à nos yeux. Or, on ne trouvait aucune information encourageant la proximité avec notre enfant et encore moins appuyées scientifiquement (on est en 2004, on se rappelle !). Absolument RIEN de ce qu'on lisait ou nous proposait ne collait avec notre instinct. À ce moment, nous commencions seulement à connaître notre bébé. Nous ne savions pas encore non plus qu’elle était un de ces bébés au tempérament plus intense qui avait besoin davantage de proximité et de réconfort. Les méthodes de dressage au sommeil n'auraient jamais "fonctionné" avec notre bébé. Si on la laissait pleurer (mea culpa : on l'a essayé), elle était capable de persévérer dans ses pleurs (des appels à l'aide, on le sait maintenant) pendant DES HEURES ! Encore aujourd'hui, c'est dans son tempérament de protester fort lorsqu'elle souhaite quelque chose. Tout ça n'avait visiblement aucun sens, on le savait au plus profond de nous-mêmes ! J’ai donc tenté de voir le « problème » différemment. Au lieu de tout faire pour essayer de « faire comprendre » à mon bébé que la nuit "c'est le temps de dormir" parce que son père et moi en avions besoin, j’ai plutôt essayé de comprendre ses besoins à ELLE, de me connecter à elle. L’impatience a commencé à faire place à l’empathie. Au lieu d’écouter les conseils à droite et à gauche, j’ai commencé à écouter ma sensibilité parentale. Les endormissements se faisaient en douceur et plus rapidement. Il y avait de moins en moins de réveils nocturnes et je sentais ma fille de plus en plus confiante la nuit. Surtout, J'ÉTAIS plus confiante en mon accompagnement donc par le fait même, plus sécurisante pour elle. Durant cette période, je poursuivais aussi des études en psychoéducation. Mes lectures sur le développement de l’enfant m’ont fait comprendre que les comportements de ma fille étaient non seulement normaux, mais en lien avec sa maturation cérébrale et affective. Toute cette intensité et ces défis vécus en lien avec le sommeil n’étaient donc pas un caprice de mon bébé et surtout, ils étaient temporaires. Quel soulagement ce fut qu’on me confirme que mon enfant était « normal » et surtout, ce n'était pas MOI le "problème". ! La situation était beaucoup plus facile à accueillir chaque soir. J'avais un job de parent à faire : accompagner mon enfant de manière sécurisante. Mon conjoint et moi étions prêts à le faire. Et voilà que de nouvelles données probantes quant au développement de l’enfant et aux processus neurophysiologiques du sommeil ont été de réelles révélations dans ma pratique de psychoéducatrice et dans mon accompagnement des familles. J’ai découvert toute l’importance des neurosciences cognitives, affectives et sociales, les instincts primitifs que portent nos tout-petits dès la naissance, les comportements liés à l’immaturité de leur cerveau et à leur recherche avec leurs figures d'attachement significatives. À ce moment, aucun professionnel n’avait encore abordé la petite enfance sous cet angle avec moi dans ma vie de mère. C’était une découverte qui allait certainement changer toute ma façon d’intervenir avec ma propre fille, mes deux autres enfants à venir et les familles que je rencontrais dans mon bureau. Lorsque mes deux garçons sont arrivés dans ma vie, le sommeil s’est encore une fois retrouvé au cœur de nos préoccupations mon conjoint et moi. Or, il n’était plus source de stress ni de frustrations. Nous comprenions mieux les besoins affectifs et les processus liés au sommeil de nos bébés. Nous avons adapté nos façons d’intervenir afin de répondre à leurs besoins, mais aussi aux nôtres (oui, c'est possible de répondre aux besoins de sommeil de toute la famille !). Par un accompagnement sécurisant et en douceur, nous sommes parvenus à trouver NOS solutions pour avoir de meilleures nuits de sommeil et traverser les 18 premiers mois de la vie de nos enfants avec calme et confiance. Enfin, nous avions le sentiment de former une réelle équipe comme parents mon conjoint et moi. Depuis 2007, j'ai suivi d'innombrables formations continues sur le sommeil du bébé et de l'enfant et je me tiens au fait des dernières études scientifiques sur le sujet. Pendant une quinzaine d'années, j'ai rencontré chaque semaine des familles et des professionnels en petite enfance, exclusivement en périnatalité et petite enfance. Le sommeil est toujours demeuré un motif de consultation de premier ordre. C’est toujours avec beaucoup de plaisir que je partage mes connaissances sur le sujet pour : accompagner le tout-petit vers le sommeil sans pleurs ni frustrations, répondre aux besoins affectifs de l’enfant, favoriser la confiance parentale consolider des stratégies afin que l’accompagnement au sommeil soit perçu comme positif, doux et constructif. Afin de guider les familles que j’accompagne vers la parentalité sécurisante, nous essayons ensemble de comprendre et de décoder notamment les besoins et les émotions exprimées par le bébé et ses parents derrière les difficultés vécues lors de l’endormissement et des réveils la nuit. J’ai créé ce coffre à outils en me basant sur les dernières études scientifiques, sur des données probantes, sur mon expérience professionnelle, ainsi que sur le résultat à court, moyen et long terme de l’application de ces stratégies. Clairement, cela donne des résultats plus qu’appréciés et très positifs. Chaque semaine, je reçois des dizaines de commentaires du type : « Mélanie, si j’avais reçu tous ces outils avant, notre vie familiale aurait été si différente. », « Merci pour tous tes conseils. Je les ai appliqués et cela a changé notre vie ! » Je vous propose aujourd’hui de mettre en place dans votre vie des stratégies d’accompagnement au sommeil adaptées à l’âge et aux besoins de votre enfant, mais surtout, qui fonctionnent pour vrai ! Mon agenda étant bien chargé, je ne peux évidemment pas tous vous rencontrer en consultation (même si j’aimerais tellement cela !). C’est pourquoi j’ai développé cette formation en ligne pour faire profiter le plus grand nombre de toutes ces connaissances qui peuvent réellement changer positivement votre relation avec votre bébé (et ceux à venir) tout en misant sur la construction de sa sécurité affective.
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    Maintenant, je comprends très bien le développement du cerveau de l’enfant, ce qui se passe dans sa tête et comment il a besoin d’être accompagné pour faciliter son endormissement et ses nuits tout en construisant sa sécurité affective. Je vous propose donc, avec cette formation, un super coffre à outils rempli de connaissances et de stratégies que vous pourrez utiliser et adapter aux besoins de votre tout-petit et de votre famille. Vous pourrez l’accompagner en confiance et de façon sécurisante vers des endormissements en douceur, dans le calme et le plaisir de trouver le sommeil. En 2004, avant de compléter un baccalauréat et une maîtrise universitaire en psychoéducation, j’ai vécu mes premières expériences avec le sommeil de l’enfant grâce à (à cause de !) ma fille. Dès sa naissance, le sommeil fut tout un défi pour elle. Des endormissements longs, difficultés à enchaîner les cycles de sommeil, de nombreux réveils nocturnes, besoin intense de téter la nuit, peu de siestes, etc. Mon conjoint et moi apprenions alors à être parent, nous étions dépassés par les défis liés au sommeil en plus d’être épuisés physiquement et mentalement. Après avoir entendu les 1001 conseils de notre entourage (dont plusieurs qui nous encourageaient vivement à la laisser pleurer pour qu’elle apprenne à dormir seule) , nous avons décidé d’écouter notre cœur et notre instinct parental. Nous avons opté pour accompagner notre fille plutôt que la laisser à elle-même. À ce moment, nous commencions seulement à connaître notre bébé. Nous ne savions pas encore non plus qu’elle était un de ces bébés au tempérament plus intense qui avait besoin davantage de proximité et de réconfort. Cette recherche de proximité intense, le jour comme la nuit, a duré ... jusqu'à environ 3 ans. Ouf ! Si notre entourage avait fini par accepter nos méthodes d'accompagnement sécurisantes lorsqu’elle était bébé, ils revinrent à la charge lorsqu'elle eut 2 ans (avec toutes les meilleures intentions du monde, il faut le dire) : « Elle a deux ans, il est temps de lui casser ses habitudes ! » ou « À cet âge-là, elle devrait s’endormir par elle-même ! » Comme si à partir de deux ans, son cerveau devait avoir complété sa maturation, qu’elle devait raisonner comme un adulte et que le processus du sommeil devait être acquis. Encore aujourd'hui, elle a un tempérament intense et a besoin de ses parents parfois pour réassurer. Elle est comme ça ! J’ai donc tenté de voir le « problème » différemment. Au lieu de tout faire pour essayer de « faire comprendre » à ma fille que la nuit « c'est le temps de dormir », j’ai plutôt essayé de comprendre ses besoins à ELLE, de me connecter à elle pour mieux répondre à ses besoins. L’impatience a commencé à faire place à l’empathie. J'ai essayé d'associer le sommeil à la notion de plaisir. Au lieu d’écouter les conseils à droite et à gauche, j’ai commencé à écouter ma sensibilité parentale. Les endormissements se faisaient en douceur et plus rapidement. Il y avait de moins en moins de réveils nocturnes et je sentais ma fille de plus en plus confiante à tolérer la séparation occasionnée par le sommeil. Mon parcours universitaire lors de mes études en psychoéducation m'ont permis de mieux comprendre le développement de l’enfant et m’ont permis de réaliser que les comportements de ma fille étaient non seulement normaux, mais en lien avec sa maturation cérébrale et affective. Et voilà que de nouvelles données probantes quant au développement de l’enfant et aux processus neurophysiologiques du sommeil ont été de réelles révélations dans ma pratique de psychoéducatrice et dans mon accompagnement des familles. J’ai découvert toute l’importance des neurosciences cognitives, affectives et sociales, les instincts primitifs que portent nos tout-petits dès la naissance, les comportements liés à l’immaturité de leur cerveau et à leur recherche avec leurs figures d'attachement significatives. Depuis 2007, j'ai suivi d'innombrables formations continues sur le sommeil du bébé et de l'enfant et je me tiens au fait des dernières études scientifiques sur le sujet. Pendant une quinzaine d'années, j'ai rencontré chaque semaine des familles et des professionnels en petite enfance en pratique privée, exclusivement en périnatalité et petite enfance. Le sommeil est toujours demeuré un motif de consultation de premier ordre. C’est toujours avec beaucoup de plaisir que je partage mes connaissances sur le sujet pour : accompagner le tout-petit vers le sommeil sans pleurs ni frustrations, répondre aux besoins affectifs de l’enfant, favoriser la confiance parentale consolider des stratégies afin que l’accompagnement au sommeil soit perçu comme positif, doux et constructif. Afin de guider les familles vers la parentalité sécurisante nous essayons, ensemble, de comprendre et de décoder notamment les besoins et les émotions exprimés par l’enfant derrière les défis vécus lors de l’endormissement et des réveils la nuit. J’ai créé ce coffre à outils en me basant sur les dernières études scientifiques, sur des données probantes, sur mes observations professionnelles auprès de centaines de familles, ainsi que sur le résultat à court, moyen et long terme de l’application de ces stratégies. Clairement, cela donne des résultats plus qu’appréciés et très positifs. Chaque semaine, je reçois des dizaines de commentaires du type : « Mélanie, si j’avais reçu tous ces outils avant, notre vie familiale aurait été si différente », « J’ai appliqué tes conseils et cela a changé notre vie ! » Je vous propose aujourd’hui de mettre en place dans votre vie des stratégies d’accompagnement au sommeil adaptées à l’âge et aux besoins de votre enfant, mais surtout, qui fonctionnent pour vrai ! Mon agenda étant bien chargé, je ne peux évidemment pas tous vous rencontrer en consultation. C’est pourquoi j’ai développé cette formation en ligne pour faire profiter le plus grand nombre de toutes ces connaissances qui peuvent réellement changer positivement votre relation avec votre enfant (et ceux à venir) tout en misant sur la construction de sa sécurité affective.
  • Pour ou contre la coriandre ?
    Tellement POUR ! Mais mon chum est contre, donc c'est assez rare chez nous.
  • Pour plusieurs personnes, tu es une source d’inspiration, de savoir, d’admiration, de respect et bien plus encore. Si tu devais choisir une seule personne que tu admires, respectes et qui t’inspire, ce serait qui et pourquoi ?
    Janette Bertrand. Que j'aime cette femme ! Une source d'inspiration sans bornes pour toutes les femmes ! Elle a sans conteste contribué à la société québécoise actuelle dans laquelle j'ai le privilège d'évoluer comme femme qui a la liberté de s'affirmer, de prendre SA place, d'être égale à l'homme, de faire SES choix, de construire SA vie. J'admire son franc-parler, son ouverture d'esprit qui a traversé les générations, sa lucidité impressionnante dans l'âge d'or, sa grande sensibilité et sa bienveillance certaine. J'ai grandi avec Janette dans le téléviseur de ma mère et ma grand-mère, j'ai appris sur les menstruations et la puberté en lisant le livre de Janette, j'ai évolué en écoutant les débats de famille sur les propos de Janette, mes enfants m'ont entendu leur parler de Janette ... Janette, veux-tu être ma grand-maman adoptive ?
  • Crémeuse ou traditionnelle ?
    Bon, laissez-moi vous expliquer ça. Si je mange au St-Hubert, c'est clair que je me sers une portion de chacune, bien séparée dans mon petit bol à salade (pas question de mélanger !). Ça prend aussi du poivre en grain moulu par-dessus tout ça. Par contre, si je mange en take-out, d'emblée je choisirais traditionnelle, mais je suis assez flexible si ça peut rendre du monde heureux d'échanger leur salade avec la mienne. Je ne suis pas capricieuse du chou.
  • Des ananas, ça va sur une pizza ou pas ?
    Dans mes années de cégépienne, en fin de soirée à 3h du matin, je vous aurais dit "absolument !". Aujourd'hui, je ne vois pas pourquoi je m'imposerais ça quand je peux opter pour du chèvre, des noix et des pleurotes (ou n'importe quel champignon, je suis littéralement fan de TOUS les champignons !).
  • Si tu pouvais revivre un seul moment de ta vie, lequel choisirais-tu et pourquoi ?
    Mes accouchements, les 3. Donner naissance a été, chaque fois, l'expérience la plus grandiose et transcendante qui soit. Jamais je n'ai été connectée de cette façon à mes instincts primitifs. J'y ai découvert toute la puissance et la force qui m'habite comme femme. J'ai énormément de gratitude d'être une femme et que la vie m'ait offert le privilège de vivre l'enfantement. Encore à ce jour, je n'ai jamais rien vécu d'aussi puissant.
  • Peux-tu raconter une fois où "tu l’as échappé", mais surtout comment t’es-tu reprise et as réparé ton intervention ?
    Eh la la ... choisir UNE seule fois ? Impossible ! Je ne sais même pas laquelle choisir ! Parce que, en toute humilité, je l'ai échappé souvent. Je vous ai dis que j'étais impatiente ? J'ai aussi une certaine hypersensibilité sensorielle ce qui fait que je peux vite grimper dans les rideaux lorsque mon système nerveux est surchargé de stimuli. Je ne suis pas très fière de vous admettre ça, mais c'est moi. Avec les années, j'ai appris à faire de ma culpabilité un moteur de changement pour cheminer, m'améliorer, trouver des moyens de gérer mes émotions et mon hypersensibilité. Mais surtout, j'essaie TOUJOURS de réparer auprès de mes enfants : "Je t'ai fait peur tantôt, je sais ... " ou "J'ai crié, j'ai très mal géré mes émotions, je suis sincèrement désolée de ce que j'ai pu te faire vivre. Veux-tu m'en parler ? Comment t'es-tu senti ? La prochaine fois que la boule de colère va monter dans mon ventre, je m'engage à essayer très fort de sortir à l'extérieur pour éviter de crier." Aujourd'hui, mes enfants sont plus vieux et se font un plaisir de me refléter que je devrais aller respirer lorsqu'ils sentent que je commence à bouillir. Le plus beau dans l'histoire ? C'est qu'ils prennent par eux-mêmes un moment de recul dans un coin calme au lieu de faire subir leurs humeurs aux autres (parfois !) et demandent de l'aide lorsqu'ils en ressentent le besoin.
  • As-tu déjà fait quelque chose d’illégal ? Si oui, quoi ?
    J'avais 15 ans. On allait souvent dans un de ces petits bars à la clientèle un peu weird au centre-ville de ma belle trifluvie où on ne cartait pas les mineures. Le genre de place où on chantait du Shania Twain aux soirées karaoké et où les Mon'oncles Gérald nous demandaient de signer des autographes sur leur paquet de Du Maurier King Size. Un soir, le gérant devait faire un aller-retour au bar en haut pour aller chercher un truc. Il m'a demandé de tenir le bar. J'ai donc joué la barmaid pendant une grosse heure, servi des shooters, inventé des drinks un peu douteux et ramassé le pourboire , du haut de mes 15 ans, sans que jamais le gérant ne se doute de quoi que ce soit ... du moins à ce que je sache. :)
  • Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir psychoéducatrice ?
    Honnêtement ? Très honnêtement ? C'est mon amie Marie-Pier qui m'a dit "t'es pas game de t'inscrire !" J'avais un bébé de 9 mois, j'étais serveuse dans un club de golf et Marie m'a mise au défi de m'inscrire à un cours d'été de 3 semaines et qu'elle garde mon bébé. "T'es bonne pour aider le monde me semble !" qu'elle me disait. L'idée d'aller m'assoir sur une chaise droite à l'université me puait au nez. Je détestais l'école et j'étais trop hyperactive pour suivre un cours attentivement pendant 3 heures. "Essaie-le dont ! Un cours, juste un. T'as rien à perdre !" J'y ai finalement passé 10 ans de ma vie, donné naissance en même temps à 2 autres bébés pendant mes études, travaillé à temps plein comme intervenante psychosociale, poursuivi parallèlement une formation d'accompagnante à la naissance, démarré ma première entreprise en ouvrant un centre périnatal ... 10 années de sacrifices à chercher MON domaine d'intervention, MA niche à moi, à développer ma propre expertise en périnatalité. Aujourd'hui, je dis encore merci à ma précieuse Marie-Pier ! :)
  • Es-tu "team" mayonnaise Hellmann’s ou Miracle Whip ?
    Mettons ça au clair : la Miracle Whip ce n'est PAS de la mayonnaise !
  • Quel a été ton plus gros défi comme maman ?
    Le manque de sommeil, la patience (je suis telleeeement impatiente !) et le sentiment de ne pas être à la hauteur. Garder la maison impeccable, nourrir mes enfants de façon variée et équilibrée 3 fois par jour, accompagner leurs émotions, décoder leurs besoins derrière leurs comportements, tout ça en conciliant travail-études-famille-vie de couple (et du temps pour moi ? On repassera !) ça m'a vite semblé impossible. Après avoir frappé le mur du sentiment d'incompétence et de mes limites personnelles, j'ai dû apprendre à revoir mes priorités, à être indulgente envers moi-même et à m'apporter un peu de douceur, chaque jour. C'est donc dire que j'ai appris à m'offrir autant de bienveillance à moi-même qu'à mes enfants.
  • Si tout était possible, sans contrainte, à quoi ressemblerait une journée parfaite pour toi ?
    La paix ! La SAINTE PAIX ! Du silence ! Ha ha ha ! Je ne suis pas très exigeante hein ? Mais si tout est possible, je serais sur le bord de la mer (c'est ma plus grande thérapie !), après avoir fait un reset complet de ma charge mentale, aucun cellulaire (et aucun message à répondre à la fin de journée !), une bonne bouteille de bulles, du foie gras et du homard, mon amoureux et mes enfants (dans l'harmonie complète, sans AUCUNE chicane), et un bon roman. Oh my god, c'est quoi cette question-là ?! C'est pas gentil de me faire fantasmer de même ! Ha ha ha !
  • Le monde est envahi par des zombies, il ne reste qu’un petit groupe de survivants et tu en fais partie. Quel est ton rôle dans ce groupe ?
    Je mesure 5 pieds, je ne cours pas vite et je ne sais pas sauter. Je suis incapable de laisser quelqu'un en péril sans lui porter secours pour sauver ma peau et je traine avec moi tous les enfants et les bébés orphelins. J'ai peur du noir et des hauteurs et mon hypersensibilité me rend intolérante aux gens qui puent. Je n'ai pas le sens de l'orientation, je mélange ma droite et ma gauche et la dernière fois que j'ai dormi dans une tente sur un matelas de sol, je me suis réveillée pleine de rhumatisme et j'ai mis 3 jours à m'en remettre physiquement. En résumé, je suis rendue trop vieille pour jouer les Daniel Boone. Vous vous êtes trompés de personne. C'est clair que je ne fais pas partie des survivants !
  • Nature des fonctions
    Effectuer des rencontres client, ponctuelles ou dans le cadre d'un suivi psychoéducatif individuel, de couple et familial de type accompagnement familial, guidance parentale et suivi clinique, comprenant cueillette de données, évaluation et plan d'intervention, selon les besoins. Les suivis comportent 3 volets selon les opérations professionnelles : Éducatif : informer et sensibiliser les parents sur les connaissances et les habiletés nécessaires pour répondre à l'ensemble des besoins de leur.s enfant.s d'un point de vue psychodéveloppemental et adopter des pratiques parentales positives et sécurisantes. Guidance parentale : répondre à des besoins d’amélioration des habiletés parentales, objectiver et rassurer les parents quant à leurs compétences personnelles et leurs capacités à faire face aux exigences de l’éducation de leur.s enfant.s, optimiser le développement global des tout-petits, contribuer à une saine gestion de la dynamique familiale et de la santé mentale de tous les membres de la famille. Accompagnement clinique psychoéducatif : intervention clinique préventive ou de réadaptation dans un contexte de situations de difficultés adaptatives, évaluation la situation et des besoins, analyse clinique, et élaboration d'un plan d’intervention en collaboration avec le couple, les parents, la famille ou le milieu. L’intervention se réalise principalement à la clinique et en visioconférence. D'autres types d'interventions peuvent aussi être réalisées, telles que : Observation directe dans le milieu au besoin (domicile, CPE, etc) Rapports d'observation en CPE Soutien ou rôle-conseil aux éducatrices en CPE Animation d'ateliers, formations, webinaires Dépistage du développement de l'enfant Intervention en contexte autochtone
  • Contexte de travail et avantages
    Horaire et heures ultra flexibles (jour, soir, fin de semaine au choix) Excellente conciliation travail-famille Gestion autonome de l’horaire de travail et du nombre d’heures travaillées Poste hybride Consultations en présentiel à la clinique de Trois-Rivières et en télépratique Possibilité de télétravail quelques heures par semaine Beau bureau avec grande fenestration (vue sur la ville au 8e étage de la Place Royale) Clinique située au cœur du centre-ville, à proximité des restos et cafés Formation et supervision offertes lors de l’entrée en poste Codéveloppement en équipe chaque semaine Possibilité de formations continues payées (colloques, conférences, etc) Congé payé le jour de l’anniversaire (poste temps plein) Cotisation annuelle à l’OPPQ payée (après la 1 année complétée en poste, à temps plein ) Ordinateur MacBook Air fourni (poste temps plein)
  • Clientèle
    La Clinique Mélanie Bilodeau Psychoéducation est reconnue pour son expertise auprès de la clientèle en périnatalité et en petite enfance (0-5 ans). Le psychoéducateur ou la psychoéducatrice en poste sera appelé à intervenir avec ce type de situation : · Adaptation à l’arrivée de bébé . Défis du 4e trimestre et matrescence · Défis liés au sommeil · Décodage des signaux du bébé ou de l’enfant · Prévention/adaptation à une dépression post-partum · Deuil périnatal · Santé mentale parentale · Organisation familiale · Cohésion parentale · Accompagnement des émotions de l’enfant · Difficultés comportementales et relationnelles avec l’enfant · Éducation, cadre, pratiques parentales positives · Clarification et validation du style parental · Défis d’attachement · Difficulté à la garderie · Etc.
  • La Clinique Mélanie Bilodeau Psychoéducation
    La Clinique est une division de l’entreprise Mélanie Bilodeau Psychoéducatrice Inc, une société de services spécialisés en périnatalité et petite enfance. Fondatrice de La Clinique, Mélanie Bilodeau est d’abord psychoéducatrice, conférencière au Québec et en Europe, autrice de 4 ouvrages, dont 2 best-sellers aux Éditions Midi trente, récipiendaire du prix 2020 de l’Ordre des psychoéducateurs psychoéducatrices du Québec, et chroniqueuse radio et télévision, notamment sur 3 stations Rouge Fm et à Salut Bonjour. Elle est sollicitée de partout dans la francophonie pour ses services de consultation et ses diverses formations destinées aux intervenants en périnatalité et en petite enfance. Son approche distinctive basée sur son modèle phare de la parentalité sécurisante développé au cours de sa pratique, fait d’elle une référence dans son domaine. Novatrice et à l’affût des besoins de sa clientèle, notre société a été la première dans le domaine à offrir des services et des formations en ligne spécifiques à la périnatalité et la petite enfance au Québec. En 2021, Mélanie a mis les voiles afin de trouver une solution pour soutenir un plus grand nombre de familles, d’éducateurs et de professionnels. C’est alors qu’elle élargit son offre de services en créant une nouvelle division à l’entreprise : La Clinique Mélanie Bilodeau Psychoéducation. Dynamique et avant-gardiste, notre équipe travaille constamment à développer des outils et du contenu probant pour promouvoir l’humanisation des naissances, la santé mentale parentale et du nourrisson, et la sécurité affective du tout-petit. La Clinique dispense, entre autres, des services psychoéducatifs d’accompagnement parental en période prénatale, postnatale ainsi que dans la petite enfance (0-5 ans), de soutien, de rôle conseil et de formation en services de garde éducatifs et dans divers milieux. Nous avons sans cesse le souci de nous adapter à la réalité de chaque famille, son vécu et ses valeurs, dans une approche de collaboration et de non jugement. L’expérience client demeure pour nous une préoccupation constante et, dans toutes nos collaborations, nous nous entourons uniquement de gens de cœur qui partagent les valeurs et la culture de notre entreprise centrée sur l’humain. Mais surtout, on aime travailler dans le plaisir, la légèreté et la rigolade. Notre leitmotiv : la rigueur dans la bonne humeur !
  • Formation requise et exigences du poste
    Être membre de l’Ordre des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec (OPPQ) ou en voie de l'être d'ici l'entrée en poste Détenir au minimum 2 années d’expérience pertinente en intervention Être capable de travailler de façon autonome Faire preuve de grande flexibilité, d’initiative et de débrouillardise Détenir une excellente maîtrise du français parlé et écrit Pouvoir assurer un certain nombre d’heures en présentiel à La Clinique de Trois-Rivières chaque semaine Si l’employé souhaite faire du télétravail, il doit être en mesure d’assurer son intervention dans un contexte où le professionnalisme et la confidentialité sont préservés Doit pouvoir se déplacer dans un rayon allant jusqu'à environ 1h30 à 2h de Trois-Rivières de temps à autres pour différents projets et services
  • Qualités et compétences recherchées
    PLAN CLINIQUE : Habileté à créer l'alliance thérapeutique rapidement Évaluer avec rigueur la situation de l’enfant, du parent, du couple ou de la famille Bonne capacité d'analyse clinique appuyé sur des théories, approches et concepts reconnus Établir des objectifs d’intervention, proposer et actualiser un plan d’intervention Concerter au besoin son intervention avec les autres partenaires au dossier (éducatrices en CPE, ergothérapeutes, etc PLAN THÉORIQUE : Excellente maîtrise des approches cognitivo-comportementale et développementale, ainsi que de la théorie de l'attachement Bonne connaissance des fondements de l'éducation positive et des neurosciences affectives et sociales (possibilité de formation continue au besoin) Bonne connaissance du modèle conceptuel de la parentalité sécurisante développé par Mélanie Bilodeau PLAN EXPÉRIENCE (atouts) : Connaissances et expérience pertinente liées aux enjeux et défis adaptatifs de la période périnatale, un atout (grossesse, accouchement, quatrième trimestre, dépression post-partum, deuil périnatal, santé mentale périnatale, matrescence, transition à la parentalité, etc) Connaissances et expérience pertinente liées à l'intervention auprès des personnes issues des communautés autochtones, un atout.

Comment cette formation peut améliorer votre relation parent-enfant ?

01

Vous comprendrez les besoins derrière les comportements intenses de votre

tout-petit.

02

Vous deviendrez l'allié de votre enfant, afin de le guider dans la confiance, l’autonomie et la saine régulation de ses émotions.

03

Vous établirez une relation plus positive et empathique avec votre enfant et une dynamique familiale beaucoup plus agréable.

04

Vous ressentirez moins de frustrations au quotidien en
diminuant les résistances et la  
confrontation avec votre tout-petit.

05

Vous saurez comment accompagner les émotions et les comportements de votre enfant en appliquant des stratégies concrètes et adaptées à son âge et son immaturité. 

06

Vous vous sentirez  outillés et confiants dans vos interventions et l'accompagnement de votre enfant.

07

Vous serez moins réactifs et plus empathiques dans vos interactions avec votre enfant, ce qui rendra vos interventions plus efficaces.

08

Vous consoliderez votre équipe parents en améliorant votre cohérence et votre cohésion parentale afin d'être constants et sécurisants dans votre encadrement. 

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4 heures
de vidéos

Des vidéos simples, brèves et concises de qualité visuelle professionnelle, à visionner sur l'appareil

de votre choix.

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11 modules

Du contenu vulgarisé, appuyé scientifiquement, alliant théorie et pratique, à visionner autant de fois que vous le souhaitez durant votre abonnement. 

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Apprendre, 
comprendre, appliquer

Comprendre les besoins derrière les comportements de l'enfant 18 à 36 mois.

Appliquer des stratégies concrètes et adaptées à l'immaturité de l'enfant pour favoriser la relation parent-enfant et la sécurité affective.

Module 3

Soutenir et amener mon enfant vers l’autonomie tout en préservant sa confiance

Module 4

Diminuer les frustrations face aux « caprices » de mon enfant

Le module 4 concerne les notions de caprices et les situations où vous avez le sentiment que votre enfant vous manipule.

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Modules 5 à 11 : 

les stratégies concrètes pour faire face aux comportements difficiles 

Module 5

Dans le concret, diminuer les conflits au quotidien 

Le module 5 propose une perspective différente de ce qui est souvent qualifié de « terrible two », aborde l’opposition, les frustrations de l’enfant devant les refus, et les interventions à privilégier pour accompagner la phase du « non ». 

Module 6

Comprendre pour mieux intervenir avec mon enfant et diminuer les comportements difficiles 

Le module 6 démystifie les comportements « d’attaque » de l’enfant (taper, pincer, mordre, lancer des objets, etc.)

Module 7

Développer un plan d’action concret pour accompagner les grandes émotions

Le module 7 aborde le sujet des crises de colère, comment les prévenir et les accompagner efficacement. 

Mises en situation du quotidien

Les modules 8 à 11 abordent plusieurs situations courantes de la vie de tous les jours ainsi que des stratégies efficaces et concrètes pour prévenir et intervenir : angoisse de séparation, difficulté d’endormissement, etc. 

Modules 8 à 11

J’y aborde aussi les défis suivants :

  • la formulation des consignes claires

  • la mise en place du cadre et des limites 

  • l’application des conséquences

Module  8 à 11

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J'aimerais en savoir plus sur la formatrice 

Qui est Mélanie Bilodeau, psychoéducatrice ?

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Quel est le tarif pour faire la paix avec le "terrible two"  et améliorer ma relation parent-enfant ?

Tarifs | Formation en ligne
Mélanie Bilodeau ​Psychoéducatrice

197,95 $ + tx

*Les tarifs sont indiqués en dollar canadien (CAN)
*Accès de 1 an
*Option d'accès à vie

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